Critique de livre : "Une poche pleine de bonheur", par Richard E. Grant

Critique de livre : « Une poche pleine de bonheur », par Richard E. Grant



Richard E. Grant est un acteur merveilleux et, semble-t-il, un homme plutôt merveilleux (maladroit, talentueux, aimant). Ses nouveaux mémoires, écrits sous forme de journal intime, portent sur son formidable mariage des contraires de 38 ans avec Joan Washington (lui l’éternel adolescent, l’optimiste vedette et l’acteur doué, elle une langue acérée, sans fioritures et tout aussi douée entraîneur de dialecte) et sa mort douloureuse d’un cancer. (C’est elle qui, en mourant, lui ordonne de chercher une « poche pleine de bonheur » chaque jour après son départ.)

Grant écrit : « Je me demande, à l’âge de 63 ans et 11 mois, si je suis jamais va être un vrai adulte. Ce n’est pas une question que je me suis posée en lisant ce livre. Il est si ouvert, si rempli de sentiments et étourdi de joie lorsqu’il est aimé, remarqué et/ou loué. (Il n’écrit pas seulement sur chaque détail passionnant d’être nominé aux Oscars pour son extraordinaire performance dans « Can You Ever Forgive Me? », Il cite ensuite divers journalistes et publicistes sur le charme et la candeur désarmante de son enthousiasme. Et puis il y a un quelques citations supplémentaires d’amis qui lui disent à quel point il est doué et merveilleux, car il ne remporte finalement pas l’Oscar.) Mais il est trop ravi de tout cela pour lui en vouloir, même si les sections hollywoodiennes lui enlèvent l’intensité du livre.

Si Richard E. Grant écrivait une critique de ces mémoires émouvants, il y aurait beaucoup, beaucoup d’adjectifs affectueux et admiratifs utilisés pour décrire presque tout le monde qui apparaît dans les pages : plein d’esprit, direct, fougueux, soyeux, brillant, hilarant. , aimante, généreuse, déchirante, chaleureuse, inclusive, brillante, pétillante, étonnante, charmante, dorée, divertissante.

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